Après un départ palpitant (Edmond négociait un jump seat et a bénéficié d'un voyageur ayant loupé ses formalités d'entrée aux USA : la moule jusqu'au bout le Ed :) et des négos d'enfer pour rassembler les équipes dans l'avion (en fait Anne-Laure, j'ai vendu mes places et ai été beaucoup plus directive que toi sur cette affaire là, histoire que les hôtesses n'aient pas besoin de faire un chantage à l'avion qui ne décolle pas tant que quelqu'un ne cède pas sa place au petit : on voulait décoller!), bref après tout ça, on atterrit à Boston, et ouais mon Filou, c'est trop nul d'être à Boston quand tu n'y es pas.
Ce que disent les gens sur l'attente à la douane est vrai : à moins de deux heures d'attente, tu mets pas un pied sur le territoire américain. Pas de fouille en T position pour moi, déception : en vieillissant, je perd du potentiel révolutionnaire évident. Pas d'épouillage de nos valises : nos bonnes bouilles passent comme une lettre à la Poste! Puis queue chez Hertz et quelques centaines de km pour boucler ces 48h de la mort qui tue, et zou, nous voici au Marriott dans la double Queen size bed. Demain, on rallie le Canada à la nage, c'est ça les warriors de Montréal.
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